Bazoche, du latin basikica, est synonyme d’église, quant à Gouët, ce complément vient du nom des seigneurs du lieu, les barons du Perche-Gouët.
Au XVIème siècle, La Bazoche s’enorgueillit d’une belle église des XIII et XVIIIème siècles, classée monument historique, dont le magnifique portail Sud attire les regards des touristes, ainsi que les vitraux du XVIIIème représentant différents membres de la famille des Bourbons-Conti. Un éclairage extérieur illumine cet édifice à chaque week-end.
A l’une des sorties du bourg, la petite chapelle Notre-Dame des Bois, de construction très ancienne, accueille les pèlerins quatre fois par an.
Le 9 septembre est la fête patronale en l’honneur de Saint Gourgon dont les paroissiens allèrent chercher des reliques à Rome en 1671.
Un massif boisé d’une centaine d’hectares borde de chaque côté la route venue de Brouet qu’elle couvre, dès le printemps, de l’ombre de ses grands arbres. De nombreux parcs et bois entourent La Bazoche et lui donnent sans doute ce climat privilégié qui permet à ses habitants de vivre vieux, nos centenaires s’y succèdent.
La jolie rivière « Yerre » traverse le bourg sur toute sa longueur et peut permettre de belles promenades à la rencontre des moulins qui retiennent les eaux de la rivière.
La grande place de la Bazoche, à l’ombre du clocher, a toujours été l’emplacement d’un marché important, mais elle était notablement moins grande qu’aujourd’hui puisqu’on y trouvait le cimetière, le presbytère et la maison du prieuré Saint Jean-Baptiste et surtout les halles : la halle au blé et la halle aux bouchers furent démolies en 1854 ; la, plus grande, la halle aux merciers, abritait le commerce des étamines très florissant à La Bazoche. La halle des marchands fut abattue en1880 et on installa alors la Mairie dans l’ancien hôtel de la Croix-Blanche.
Au XVIème siècle, La Bazoche s’enorgueillit d’une belle église des XIII et XVIIIème siècles, classée monument historique, dont le magnifique portail Sud attire les regards des touristes, ainsi que les vitraux du XVIIIème représentant différents membres de la famille des Bourbons-Conti. Un éclairage extérieur illumine cet édifice à chaque week-end.
A l’une des sorties du bourg, la petite chapelle Notre-Dame des Bois, de construction très ancienne, accueille les pèlerins quatre fois par an.
Le 9 septembre est la fête patronale en l’honneur de Saint Gourgon dont les paroissiens allèrent chercher des reliques à Rome en 1671.
Un massif boisé d’une centaine d’hectares borde de chaque côté la route venue de Brouet qu’elle couvre, dès le printemps, de l’ombre de ses grands arbres. De nombreux parcs et bois entourent La Bazoche et lui donnent sans doute ce climat privilégié qui permet à ses habitants de vivre vieux, nos centenaires s’y succèdent.
La jolie rivière « Yerre » traverse le bourg sur toute sa longueur et peut permettre de belles promenades à la rencontre des moulins qui retiennent les eaux de la rivière.
La grande place de la Bazoche, à l’ombre du clocher, a toujours été l’emplacement d’un marché important, mais elle était notablement moins grande qu’aujourd’hui puisqu’on y trouvait le cimetière, le presbytère et la maison du prieuré Saint Jean-Baptiste et surtout les halles : la halle au blé et la halle aux bouchers furent démolies en 1854 ; la, plus grande, la halle aux merciers, abritait le commerce des étamines très florissant à La Bazoche. La halle des marchands fut abattue en1880 et on installa alors la Mairie dans l’ancien hôtel de la Croix-Blanche.
La Bazoche-Gouêt au cours du temps s’est appelée successivement : prieuré dépendant de l’abbaye de Pontlevoy ; doit son surnom à Guillaume Gouet, qui en était seigneur vers 1050. Basochia-Gohet, vers 1250 (pouillé).
La Basoiche-Gouet, 1482 (charte de l’abbaye de Saint-Avit près Châteaudun).
La Basoche, 1484 (charte de la seigneurie de Courtalain).
Bazoches-la-Pouilleuse, 1584 (terrier de Charonville).
Basochia-Goeti, 1626 (pouillé).
Saint-Jean-Baptiste de la Bazoche-Gouet , 1736 (pouillé)
La Basoiche-Gouet, 1482 (charte de l’abbaye de Saint-Avit près Châteaudun).
La Basoche, 1484 (charte de la seigneurie de Courtalain).
Bazoches-la-Pouilleuse, 1584 (terrier de Charonville).
Basochia-Goeti, 1626 (pouillé).
Saint-Jean-Baptiste de la Bazoche-Gouet , 1736 (pouillé)
La Bazoche était une des cinq baronnies du Perche-Gouet, vassale de l’évêché de Chartres et ressortissant pour la justice à Janville.
De 1790 à 1801, la Bazoche-Gouet fut le chef-lieu d’un canton du district de Nogent-le-Rotrou, qui comprenait les communes de la Bazoche-Gouet, Chapelle-Guillaume, Chapelle-Royale, les Autels-Saint-Eloi, Moulhard, Soizé et Villevillon.
De 1790 à 1801, la Bazoche-Gouet fut le chef-lieu d’un canton du district de Nogent-le-Rotrou, qui comprenait les communes de la Bazoche-Gouet, Chapelle-Guillaume, Chapelle-Royale, les Autels-Saint-Eloi, Moulhard, Soizé et Villevillon.